vendredi 17 février 2012

Les nouvelles! Demandez les dernières nouvelles d'Ema!

Le Trophée National des Lycées Agricoles approche à grands pas et il ne nous reste déjà plus qu'une semaine pour parfaire l'entraînement d'Ema. Nous travaillons désormais avec elle tous les jours, cela s'étant révélé indispensable au vu de son caractère très affirmé.

Il y a les jours où elle nous a bien fait marcher (courir serait même plus juste!),...

...les jours où elle a essayé de nous faire comprendre que non! Elle n'avait pas envie de travailler!



Mais avec beaucoup de patience et de douceur, elle a finalement accepté de nous aider pour le Trophée :

 

Ema a donc expérimenté la douche sans rien avoir à y redire : il est vrai que six personnes aux petits soins pour Mademoiselle avec shampooing et massage, ça ne se refuse pas !





Nous perfectionnons actuellement les derniers détails avant notre départ (logistique, matériel,...) et à ce propos, voici notre affiche que vous pourrez retrouver près d'Ema au Salon dans près de dix jours :

On se retrouve la semaine prochaine pour les derniers préparatifs en images, et notamment la venue des journalistes de France 3 Picardie qui devraient nous suivre également jusqu'au Salon.

Bonjour! Je m'appelle Edouard, j'ai 16 ans. Je viens de Welles-Perrennes, dans l'Oise.
Mes parents sont exploitants agricoles et je compte prendre leur suite sur l'exploitation familiale mais je souhaiterais d'abord continuer mes études en BTS après le bac pro CGEA. J'aime également pratiquer la chasse, ainsi que la moto.

Bonjour à tous, je m'appelle Clément et j'ai 16 ans.
J'habite à Sailly-Flibeaucourt à côté d'Abbeville, dans l'ouest du département de la Somme. Mes parents sont exploitants agricoles et j'aimerais suivre leur trace, d'où mon choix de la formation CGEA. Je suis également un grand passionné de football.

lundi 13 février 2012

On continue les présentations avec Thomas.



Bonjour, je m'appelle Thomas, j'ai 16 ans et j'habite le petit village de Cachy, pas très loin d'Amiens, ni du Paraclet. Je suis actuellement en 1ère bac pro CGEA afin de reprendre l'exploitation de mes parents une fois mon bac en poche.
J'ai souhaité participé au Trophée des Lycées pour approfondir mes connaissances et mon expérience avec les bovins.

Merci à eux.

Les élèves de 1ère pro CGEA tiennent à remercier les intervenants qui les ont entouré et guidé depuis le début de l'aventure, ainsi que la direction de l'EPL du Paraclet qui leur a accordé leur confiance.

Question à notre vacher, Alain Zanardo



Pourquoi avoir remis en place la participation du lycée du Paraclet au Trophée National des Lycées Agricoles après un arrêt de plusieurs années ?

C’est une façon de récompenser les élèves qui sont régulièrement en stage à l’exploitation et qui peuvent donc mettre en évidence les compétences qu’ils ont acquises. C’est aussi l’occasion pour eux de voir le Salon de l’Agriculture avec un œil neuf car leur participation n’est pas celle d’un simple visiteur. De plus, cela leur permet de nombreuses rencontres, notamment avec des intervenants du monde professionnel qui les aident dans leur préparation.

Interview de Mme Delevallée, Directrice adjointe de l'EPL du Paraclet






Pourquoi avoir remis au gout du jour le trophée des lycées ?

 Le trophée des lycées est l’un des aboutissements de l’EIE. L’Enseignement à l’Initiative de l’éEablissement nous propose cette année d’apprendre à promouvoir une race bovine à faible effectif, la race Nantaise. Le trophée des lycées participe à l’apprentissage de la production animale. En effet, les formations proposées par notre établissement sont orientées vers les productions végétales et il nous semble primordial de montrer l’importance des productions animales de l’exploitation du lycée. Trois races bovines vivent sur l’exploitation agricole, preuve que l’élevage à une part importante dans l’agriculture de Picardie.

Pourquoi avez-vous choisi les premières Pro CGEA ?

Nous avons estimé qu’il était plus à  même d’envoyer les premières Pro au TNLA car en seconde pro ils rentrent juste en formation agricole et en terminale, ils sont à 3 mois du baccalauréat. C’est  donc le bon moment pour leur permettre d’expérimenter le salon de l’agriculture en temps que professionnel et non plus en tant que visiteur.

Qu’attendez-vous de notre participation au salon ? 

Tous d’abord du sérieux et une excellente tenue de la part des participants. Mais surtout qu’ils sachent donner une bonne image du lycée à travers la tenue du stand et la promotion de la race Nantaise dont nous aurons la seule représentante sur le salon de l’agriculture. Par ailleurs, nous espérons favoriser les rencontres inter-lycées à travers les différentes animations qui auront lieu lors de la semaine du salon.

Interview de M.Browne, Directeur de l'EPL du Paraclet


Quelles ont été vos motivations à faire participer des lycéens au Trophée National des Lycées Agricoles ?

Il s’agit tout d’abord de faire valoir notre savoir-faire et notre savoir-être, et ce, en mettant en avant les compétences professionnelles que nos élèves acquièrent au cours de leur formation dans notre établissement.
Une de nos autres motivations est donc de représenter au mieux notre lycée sur le Salon de l’Agriculture.
Cela permet aussi à nos élèves participant au Trophée de sortir de leurs habitudes de faire et d’avoir des ouvertures sur le monde.

Pouquoi avoir fait le choix des 1ères  Pro CGEA ?

La classe de 1ères pro a déjà un certain recul sur la formation qu’ils suivent, ils n’ont pas d’examen majeur cette année et sont un peu plus à l’aise dans l’établissement.

Qu’attendez-vous d’eux sur cette manifestation ?

Un comportement représentatif auprès du public, et du jury du Trophée bien sûr ! Si tout se passe bien, nous devrions réitérer l’expérience l’année prochaine.

mercredi 8 février 2012



Bonjour à tous! Je m'appelle Gauthier, j'ai 16 ans et je suis originaire de Seine-Maritime près d'Yvetot. Je suis actuellement en 1ère bac pro CGEA au lycée du Paraclet avec pour objectif de reprendre la ferme familiale.
L'expérience du Trophée des Lycées ne se présentera probablement pas une seconde fois dans ma vie d'où ma motivation à y prendre part et à le gagner, en équipe avec mes camarades bien sûr!

dimanche 5 février 2012



Bonjour! Je m'appelle Pauline. J'ai 17 ans et je suis la seule fille de la classe de 1ère bac pro CGEA cette année! Je vis à Eramecourt dans la Somme, entre Poix-de-Picardie et Grandvilliers. Après le bac pro, j'ai pour projet de travailler en tant qu'ouvrière agricole, dans un premier temps dans le domaine des bovins laitiers, puis peut-être d'avoir ma propre exploitation si l'opportunité se présente.

dimanche 29 janvier 2012



Bonjour à tous! Je m'appelle Antoine et j'ai 18 ans. J'habite à Nesle dans le Santerre, vaste plateau agricole de la région picarde. J'étudie au lycée du Paraclet dans la filière du baccalauréat professionnel CGEA. J'y pratique également l'attelage, notre lycée travaillant en collaboration avec le Centre Equestre de Picardie.
Je participe au Trophée National des Lycées Agricoles par amour des animaux, mais aussi pour avoir une première expérience en concours bovin (défilé et soins de l'animal notamment).

mardi 24 janvier 2012

Au tour de Léo



Bonjour, je m'appelle Léo et j'ai 16 ans. J'habite à Occoches, près de Doullens, à la frontière entre la Somme et le Pas-de-Calais. Je suis élève de 1ère pro CGEA au lycée du Paraclet car j'ai pour projet de reprendre l'exploitation agricole de mon père. J'aime m'occuper des vaches et suis passionné de chasse et de football.
Je souhaite prendre part à l'aventure du Trophée National des Lycées afin de vivre une expérience que tout le monde n'a pas la chance de se voir offrir.

dimanche 22 janvier 2012

Il est temps de faire connaissance !

Après avoir pris le temps de mieux connaître Ema, cette dernière vous invite à faire connaissance avec l'équipe des 1ère bac pro CGEA qui va l'accompagner au Salon de l'Agriculture et qui prend soin d'elle depuis deux mois. Mais laissons-les se présenter...


Salut à tous ! Je m'appelle Paul, j'ai 18 ans et je suis originaire des environs de Grandvilliers dans l'Oise. Je suis la formation du bac professionnel CGEA (Conduite et Gestion d'Exploitation Agricole) au lycée du Paraclet afin de reprendre l'exploitation familiale. J'aime prendre soin des bovins, le rugby (que je pratique au lycée), la moto et faire la fête (mais chuuuuuttt!!!) !

dimanche 15 janvier 2012

L'entraînement a repris...

C'est reparti !

Après deux semaines de répit laissées à Ema pendant les vacances de Noël, nous avons repris l'entraînement pour continuer à l'apprivoiser et notamment lui apprendre à marcher à nos côtés. En effet, Ema a longtemps vécu entourée seulement de ses congénères dans ses marais : elle s'habitue à notre présence mais n'apprécie pas encore les promenades en notre compagnie.
Lui mettre le licol devient un jeu d'enfant mais pour le reste, il nous a récemment fallu prendre le taureau par les cornes, ou plutôt la nantaise par ses cornes car elle nous oblige souvent à la pousser pour avancer! 



Afin de nous préparer au mieux, et malgré l'habitude de la plupart d'entre nous à prendre soin des bovins, nous avons choisi de rajouter des heures d'entraînement chaque semaine et avons sorti le télescopique.


Alain et Ema
Alain, le vacher de l'exploitation du Paraclet, nous aide beaucoup dans notre préparation. Le chemin sera long, mais il nous mènera au ring du Trophée National des Lycées dans quelques semaines.




                                                                                                 Clément B. et Florian





vendredi 13 janvier 2012

Les conditions agricoles dans la Somme

Après vous avoir présenté Ema, et avant que vous fassiez connaissance avec ses accompagnateurs pour le trophée, il est temps de découvrir son environnement : le beau département de la Somme.



La Somme, qui recouvre la plus grande partie de l’ancienne Picardie, représente une superficie de 627 000 hectares dont environ 500 000 sont consacrés à l’agriculture et 50 000 sont boisés. Son climat et son sol en font un département très favorable aux cultures.
En effet, la Somme dispose d’un potentiel exceptionnel : d’ailleurs, l’un des plateaux de la Somme nommé Santerre tire son nom de l’expression ‘’sanna terra’’ qui signifie ‘’terre riche’’.
Déjà à l’époque des conquêtes romaines, les environs du fleuve Somme était producteurs de céréales. La présence aujourd’hui d'un tissu dense de coopératives et d’industries alimentaires puissantes permet de valoriser au mieux les productions locales.
La diversité s’étend des productions agricoles aux produits du terroir tel le fameux pâté de canard, sans oublier les productions industrielles centrées sur la pomme de terre, la betterave, les légumes de plein champ et l’endive : il s’agit d’un atout indéniable pour le développement économique de ce département.

Le sol samarien (et oui, depuis le 1er janvier 2012, les habitants de la Somme et tout ce qui s’y rattache prend le nom de samarien) est composé d’argile, de craie, de limon,… Ces diverses couches occupent des superficies variables en fonction des zones (notamment les zones côtières autour de la baie de Somme).
Le climat océanique doux et tempéré est favorable à l’agriculture avec une moyenne de 600 à 700 mm d’eau par an dans le Santerre et une température annuelle moyenne de 10°C.
Le sous-sol du département de la Somme constitue un immense réservoir d’eau que permet sa structure géologique. En effet, il est constitué d’eau et de craie perméable qui varie de 25 à 120 mètres de hauteur et reposant sur un sol argileux également perméable. La nappe phréatique se situe au niveau de la partie crayeuse.

La Somme compte différentes zones naturelles telles que :
-   Le Santerre Vermandois : 148 000 hectares pour le plateau le plus fertile en cultures céréalières au sud-est du département ;
-   Le Plateau Picard, au sud : 176 000  hectares de relief plus accidenté davantage destiné à l’élevage et à des polycultures ;
-     Le Ponthieu : 93 000 hectares au nord du département dédiés aux céréales et aux bovins ;
-   Le Vimeu : 83 000 hectares souvent arrosés de pluie au sous-sol particulièrement perméable et consacrés à l’élevage, au sud-ouest ;
-   Le Marquenterre : 16 000 hectares très fertiles sur les bords de la Manche où céréales et élevages de bovins laitiers et à viande cohabitent.

L’agriculture est donc le principal acteur économique de la Somme, notamment de par sa variété et des terroirs très riches.

                                                                                                    Adrien et Clément D.

lundi 2 janvier 2012

Bonne année!

La classe de 1ère bac pro CGEA s'associe à Ema pour vous souhaiter une bonne année 2012 et espère vous retrouver bientôt au Salon de l'Agriculture du 29 février au 4 mars prochain.

 Les 1ère bac pro CGEA